Marc Wilmots: «Un beau challenge à relever avec la Côte d’Ivoire»
Marc Wilmots a signé un contrat de 2 ans en tant que sélectionneur de l’équipe de Côte d’Ivoire. Le Belge compte qualifier les Eléphants pour la Coupe du monde 2018. Pour y parvenir, il espère convaincre Yaya Touré de revenir en sélection. Entretien dans Radio Foot Internationale.
Radio Foot Internationale : Marc Wilmots, quelles sont vos premières sensations dans la peau d’un sélectionneur de la Côte d’Ivoire ? Comment vous avez-vous été accueilli à Abidjan ?
Marc Wilmots : J’ai été accueilli de manière très chaleureuse, et ce dès les premiers contacts avec le président et le vice-président (de la FIF). Ils ont vraiment le projet, l’envie de reconstruire quelque chose. La Côte d’Ivoire est 50e au classement mondial actuel [47e, Ndlr]. Mais je suis convaincu que c’est un pays qui a énormément de qualités et de ressources. Donc, le challenge est beau à relever.
Je sors aussi de mon quotidien, qui est l’Europe. Lorsque j’ai intégré l’équipe nationale belge, on était 71e, je crois (1). On a fait un parcours par la suite et c’est ça qui m’intéresse : construire des choses.
Le premier objectif à court terme : c’est la qualification pour la Coupe du monde 2018.
Selon nos informations, vous n’étiez pas candidat à ce poste de sélectionneur des Eléphants. Avez-vous été surpris par l’appel des dirigeants de la FIF ?
Il y a eu ce coup de téléphone du président, qui m’a proposé d’être sélectionneur. Je lui ai dit que ça pouvait m’intéresser. Puis son vice-président est venu à Paris où on a discuté durant trois heures. On avait des points de vue très semblables. L’envie était donc réciproque de réaliser quelque chose pour la Côte d’Ivoire.
L’important, ce n’est pas moi ou ce ne sont pas les joueurs. L’important, c’est la Côte d’Ivoire. Le peuple doit être heureux grâce à son équipe nationale. Ils vivent un moment difficile et c’est le genre de défi que j’aime relever.
Je vais travailler avec une équipe compétente, dont quelques personnes qui ont construit l’équipe de Belgique. Le but est de mettre quelque chose en place et que tout le monde y adhère.
Vous avez amené la Belgique d’un rang assez bas au Classement FIFA à la première place mondiale (en 2015). Avez-vous l’ambition de faire progresser la Côte d’Ivoire, actuelle 47e, dans des proportions similaires ?
Non, j’ai l’ambition de gagner chaque match et de décrocher la qualification. Parce que c’est en se qualifiant pour des tournois qu’on continue à progresser. Il y a certainement beaucoup de bons joueurs en Côte d’Ivoire. Il faut faire le meilleur mélange possible avec des joueurs expérimentés comme Yaya Touré, Gervinho, Salomon Kalou.
Il faut voir si ces joueurs de l’ancienne génération vont continuer et vont encadrer les jeunes. Il faut que je leur en parle. Il faut qu’ils en aient envie. J’ai donc un gros travail à fournir durant les trois prochains mois. Il faut que j’aille voir tous les joueurs et que j’analyse tous les systèmes tactiques dans lesquels ils jouent. […]
Aller voir Yaya Touré rapidement est-il une de vos priorités ?
J’ai vu les deux derniers matches qu’il a disputés avec Manchester City dans une position de numéro 6. Je serais vraiment fou de me priver d’un joueur d’une telle qualité. Son âge n’a vraiment rien à voir là-dedans. Il a 33 ans. Tout dépend de lui, du fait de savoir s’il a encore envie de revenir en sélection. Il faut que j’en parle directement avec lui. […] Il faut voir ses intentions, que je respecterai de toutes façons.
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