Macky Sall et sa haine de Ousmane SONKOA LA UNE AFRIQUE 

Sénégal: Macky Sall, sa haine et sa propre destruction.

La haine contre Ousmane Sonko qu’affiche le président Macky Sall, fait causer de véritables soucis pour l’avenir au président sénégalais. Ousmane Sonko est né d’une mère et d’un père sénégalais, tout comme le président Macky Sall. On ne comprend pas cet arrachement contre son frère Ousmane Sonko. Il réduit la liberté de la justice de son pays, à ses propres intérêts démontrant que celle-ci est à sa botte. Il se fait humilier partout en Europe. Les plaintes vont se succéder dans les juridictions internationales et à la fin, il sortira par la petite porte dans la honte.

Pourquoi certains présidents africains n’aiment leurs ressortissants si ce n’est leur terre ? Ce qui se passe au Sénégal, va s’étendre à l’ensemble des pays africains francophones, à vouloir s’éterniser au pouvoir. Mais pourquoi se battre pour voter des constitutions si on ne les respecte pas à la fin ?

Ils y sèment le désordre pour venir emprisonner, tuer leurs propres frères qui meublent leur pays respectif qu’ils détestent si ce n’est pour leur enrichissement personnel et familial.

Voilà, Me Aïssata Tall Sall, la sœur de Macky Sall qui va encourager son frère dans cet égarement dont on se bat pour lui montrer la route de sortie honorable, qui lui demande de rester parce qu’il a le droit de briguer un autre mandat, on ne sait plus à quel moment, Macky et sa famille comprendront qu’on ne gère pas un état, comme on gère une famille. Au Sénégal comme dans les autres pays africains noirs, il faut compter plus de 10 000 habitants pour 10 médecins? Le taux d’alphabétisation est de 53%, alors chez son voisin algérien, il est seulement de 7.94%. Voilà un bilan médiocre pour lequel, le président Macky Sall n’arrive pas à justifier et qui l’oblige à son maintien au pouvoir.

A ce stade de la lutte compromise et dont on cherche les clés pour son ouverture sans dégâts, ils vont pousser les populations à s’énerver pour tout remettre en cause. D’ailleurs pour le peu que le peuple sénégalais a fait en si peu de temps, devrait emmener la famille de Macky Sall à la profonde réflexion et surtout à l’amour patriotique, sinon, une colère populaire est plus dangereuse qu’une pandémie car on sait quand ça commence, mais on ne sait jamais quand ça finit, sans compter les conséquences. 

La prudence ne sert pas de leçon à ces présidents africains qui, pour la plupart, finissent dans l’humiliation la plus honteuse, mais ça ne sert pas. Par mesure de prudence et de sécurité, les intellectuels qui devraient les ramener à la raison, ont quitté le navire. L’opposition qui devrait aussi se battre pour les remuer, les apeurer, elle-même, est pire qu’une pointe fixée au milieu du crâne. Finalement la souffrance des africains, leurs présidents qui sont formatés à les tenir dans le pire esclavage, ne s’arrêtera jamais.

Les présidents africains n’aiment pas leur peuple. Ils les détestent à telle enseigne que chaque président les considère comme des objets à vendre ou à brader pour leur business ténu par leur maintien au pouvoir. Macky Sall avait-il besoin de s’autoflageller ? Pourquoi il ne veut pas s’inspirer de ses aînés comme Abdou Diouf, qui a accepté de se retirer quand son mandat avait pris fin. Le président Senghor était le premier président africain à donner le bon exemple qui a consolidé sa démocratie, mais dans quel coup, Macky Sall veut fouler aux pieds ce grand modèle exemplaire démocratique en Afrique.

Il renforce tous les jours l’aura de son « ennemi » de frère Ousmane Sonko qui a su utiliser les NTIC, son avance est telle qu’il que le sommeil de son rival est troublé, pendant qu’il collecte de la forte sympathie et des moyens. Il pousse Macky Sall dans ces courroux populaires.

Quand deux frères se battent pour défigurer leur pays, c’est que le sortant, n’est plus sûr de son affaire.

            Joël ETTIEN 

Directeur de publication: businessactuality.com

Related posts

Leave a Comment