les médias français en AfriqueA LA UNE AFRIQUE 

Si les médias français veulent communiquer sur l’Afrique, il faut qu’ils disent la vérité.

Il faut que les médias français à la solde de la France-Afrique arrêtent de se victimiser, les époques ne sont plus les mêmes et les africains savent où se trouve leur propre bonheur et comment enchérir sa diffusion. 

On les connaît maintenant, les médias qui, longtemps ont servi de relais, de propagande aux sales besognes de la France pour piller les ressources naturelles, masquer les sordides coups d’état pour maintenir des hommes à la tête des états africains, les africains n’en veulent plus.

Heureusement qu’il commence à avoir des courageux qui n’ont plus peur et qui les dénoncent. 

Pourquoi quand les forces de défense éradiquent les terroristes, ces médias ferment leur ligne éditoriale et il suffit qu’un petit groupe de malveillants sèment la terreur pour qu’ils se mettent en branle donnant l’impression d’une impuissance des autorités ? Incapables de voir la vérité en face, on va les interdire d’exercer sur le terrain et ça ne fait que commencer.

Si ce n’est pas pour faire la promotion de l’homosexualité, c’est pour travestir la vérité. Quand les militaires burkinabè, maliens et nigériens tuent les terroristes, pourquoi ils n’en parlent pas ?

Aujourd’hui, c’est dommage car force est de constater la mévente de jeune-Afrique qui était pourtant, le bimensuel le plus lu, une bible quasiment ? Aujourd’hui grâce aux réseaux sociaux, les panafricains ont gagné la guerre de la communication. Si tous ces médias ont leur point de convergence, l’Afrique, il faut d’abord qu’ils sachent que le taux de lecture a considérablement baissé, les télévisions nationales ont perdu 90% de l’audience, les radios s’écoutent peu et que tout se résume dans les téléphones portables.

Les influenceurs, blogueurs et médias numériques sont passés par là et on n’a plus besoin de s’asseoir dans un fauteuil pour regarder la télévision car tout est dans le téléphone portable. C’est une grosse victoire gagnée justement sur ce monopole. S’ils veulent rentrer dans l’histoire et se rattraper plus tard, ils gagneraient à se ranger du côté de la vérité sinon ils courent tous à leur perte.

Macron a perdu la face, ils en parlent peu. Les dirigeants africains ont brillé de mille feux à l’assemblée générale de l’ONU, ils en parlent peu. Mais aujourd’hui, pour peu, les réseaux sociaux informent.

La peur du gendarme a changé de camp et on ne sait plus dans quelle langue transmettre ce message. Pendant que les forces de défense tuent des terroristes et que ces médias travestissent l’information, il y a de quoi, les interdire pour ne pas étourdir les combattants. 

                   Joël Ettien 

Directeur  de publication: businessactuality.com

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