Côte d’Ivoire: Attention l’ONG Amnesty International arrive encore avec ses rapports.
Voici ce que dit Amnesty International sur les manifestations non autorisées à l’appel de l’opposition, il a été rapporté que des individus armés de machettes et couteaux ont agressé les marcheurs dans certaines localités et dans certains quartiers d’Abidjan. L’ONG va plus loin pour dire que des policiers auraient autorisé, des groupes d’hommes, dont certains étaient armés de couteaux, de machettes et de gros bâtons, contre les manifestants aux mains nues….
Amnesty International accuse les forces de sécurité ivoirienne
Quand l’ONG Amnesty International porte des graves accusations, c’est pour attirer le regard de l’opinion internationale, il faut prendre ça très au sérieux car c’est comme ça que ça commence et tout doucement, le ver pénètre dans le corps pour devenir, ver de guinée.
Quand on entend l’entourage dire que tout va bien et qu’ils ont la situation en mains pour endormir le président de la république, c’est souvent pour le tromper et le conduire à sa chute. Nous avons appris du temps du président Gbagbo, quant à l’affût des informations graves qui attentaient à son pouvoir, on lui disait : « prési, il n’y a rien, on maitrise, la situation. »
Pour salir au maximum le président Gbagbo, on fabriquait de ces fausses rumeurs, des fausses informations, qui ont fini par le faire tomber, alors, il faut que le président Ouattara sorte son carnet d’adresse, pour démentir avec des preuves sur ces informations que ces ONG qui sont les yeux et les oreilles des organisations internationales (ONU, UA, UE…)
En Afrique, les guérisseurs soignaient les malades à partir des essaies des plantes, sinon ils n’ont pas de laboratoires. C’est à partir des faits anciens qu’on se munit d’interdits ou on s’arme pour d’éventuelles attaques. Quand ça commence, il faut prendre ça au sérieux rapidement, sinon, une égratignure peut se transformer, en un gros abcès.
Ce qui est arrivé à Maclata, peut aussi arriver à Maclaclo. Quand ces faiseurs de rois, se retournent contre des pouvoirs, ce n’est pas bon signe.
Si jeunesse pouvait ce que vieillesse savait, la suite, on peut la deviner. Il faut éviter encore aux ivoiriens, ce qui les a traumatisés. C’est pourquoi, nous répétons encore une fois, cherchez à rendre fortes les institutions que de vouloir vénérer les hommes qui sont de passage.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
