Grossesses en milieu scolaire ivoirienCÔTE D'IVOIRE 

3588 filles enceintes dans les écoles ivoiriennes en ce début d’année scolaire

3588 grossesses en milieu scolaire, c’est le chiffre alarmant que vient de publier le conseil national des droits de l’homme le 25 octobre 2023, juste en ce début d’année scolaire. La rentrée scolaire a eu lieu en septembre dernier et voilà le score de ceux qui abominent la vie des petites filles, 3588 jeunes filles enceintes souvent par des enseignants, des parents qui ont la charge de les héberger, soit par d’autres criminels sexuels. Ceux-là, ne doivent-ils pas craindre de se retrouver devant les tribunaux? 

Le nombre est impressionnant et doit interpeller les autorités à sévir par la justice. Parmi les causes, le conseil révèle la paupérisation des parents. Pourtant, l’année 2023 a déclaré, année de la jeunesse ou bien cette catégorie de jeunes ne font pas partie des avantages liés par cette faveur du gouvernement?

Revenons sur ces cas de grossesses scolaires, mais diantre, pourquoi c’est sur ces gamines que bandent ces prédateurs sexuels? Pourtant ce ne sont pas les campagnes de sensibilisation qui manquent sur les médias, alors si ces « enceinteurs » ne veulent pas comprendre, qu’ils soient punis à la hauteur de l’abîme causée.

Il n’y a pas plus de femmes belles matures attendant des hommes qui déambulent leur postérieur, leur beauté dans les rues de la capitale économique Abidjan qui manquent, maintenant si ce sont sur les petites filles qu’ils déversent leur libido, non seulement il faut qu’ils soient sévèrement punis et qu’ils prennent la suite de la scolarité de ces mineures en charge. Si par aussi pour des rituels que ces enfants sont poursuivies pour assouvir ces rituels, il faut que les auteurs en paient le prix. 

Les efforts pour alerter ne manquent pas, maintenant pour marquer les esprits, il faut taper du poing sur la table et pour une fois, si certains peuvent être exposés devant les caméras des télévisions, il faut le faire. Car pour certains, ils se croient à l’abri par des protecteurs au sommet, il faut les brandir pour marquer les esprits. 

3588 filles ne pourront plus poursuivre leurs études, parce que des sadiques sexuels sont passés sur elles sans aucune protection et rien ne leur arrivera.

Il faut que le gouvernement soit ferme et strict car il s’ agit de l’avenir des filles.

                              Joël ETTIEN 

      Directeur de publication: businessactuality.com

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