président Gbagbo Laurent et Blé Goudé, devant la courA LA UNE AFRIQUE 

Côte d’Ivoire: Il faut accepter que le président Gbagbo et Blé rentrent au pays.

Libération du président Gbagbo et de ministre Blé Goudé, doit taire les velléités et rassurer les uns et les autres, car la Côte d’Ivoire en a tellement besoin, qu’il faut mettre balle à terre, pour les attendre.

Le président Gbagbo et Blé Goudé seraient très attendus en Côte d’Ivoire

L’annonce de la libération de ces deux ténors de la politique ivoirienne a suscité chez certains ivoiriens, une joie qui avait suscité dans certains quartiers abidjanais, une liesse populaire. Donc, ils sont attendus par ces militants et sympathisants! Pour ceux que cette libération gênerait, il faut qu’ils se rendent à l’évidence que c’est dans leur indifférence qu’ils bâtiront une Côte d’Ivoire prospère et riche.

En fait, ce n’était pas un réel débarras des consignes de leur libération, mais juste pour jauger l’atmosphère qu’elle pourra réveiller chez certains ivoiriens.

Il est évident que les uns et les autres reconnaissent que sans leur présence, il serait difficile à celui qui prendra ce pouvoir de travailler et gouverner convenablement, un pays divisé par de nombreux conflits dont, certains n’ont pas voulu s’associer pour que le président Ouattara qui a hésité à poser les vraies bases de la réconciliation, des occasions se créent à cet effet.

Les ivoiriens ont cette soif de se retrouver politiquement, sinon dans la vie au quotidien, rien ne les oppose, il faut que cela soit une réalité et pour ceux qui sont dans la douleur à cause de la crise postélectorale, reçoivent un futur cadre pour se parler et se pardonner.

C’est un appel que nous lançons à tous les candidats qui vont compétir pour les élections présidentielles d’octobre 2020, de ne point renouveler ces vieux souvenirs dans les propos et de ne répondre aux cris de douleur séance tenante, mais de trouver les mots justes pour apaiser les esprits meurtris qui rebondissent à tout moment que tel entend le nom d’un tel, parce que les ivoiriens politiquement, ont des soucis car c’est là, où le bât blesse.

Pendant combien de temps, les ivoiriens se mettront à se regarder en chiens de faïence alors qu’ils ont cette nécessité de se parler en frères et sœurs, mais inutile de se jouer les durs, ils attendent ce moment fatidique. C’est pourquoi, désormais, qu’ils arrivent à faire la part des choses entre la politique et leur vie de vivre ensemble et tirer les grandes conclusions de leur triste passé.

Nous voudrions que les uns et les autres se surpassent et que ce vœu soit exaucé. Les Hommes naissent, grandissent et meurent, mais le pays reste éternel, ils n’ont pas le choix que de réapprendre à s’aimer.

La libération du président Gbagbo et de Blé Goudé, ne doit pas être une source de remords, de réveil de douleur, mais qu’elle procure de la joie pour conjuguer la vie à l’ivoirienne à tous les temps.

                                                             Joël ETTIEN

             Directeur de publication : businessactuality.com

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