Suzi Barbosa parlementaire BissaoguinéenneA LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Bissau: Quand madame Suzi Barbosa, prend le pas sur le temps pour hisser son pays.

Ce que femme veut, dieu le veut dit l’adage, ainsi, madame Suzi Barbosa, cette femme de fer au rouge, depuis longtemps, a lâché son parti politique le PAIGC à cause de l’entêtement de Simoes Domingos, qui n’a aucun esprit de fair-play et qui se promène pour toujours lancer son caillou en direction de son pays, pour lui ternir l’image au moment où les pays avancent. Madame le ministre, prend le temps à témoin pour hisser son pays au rang des grandes nations, sans complexe. C’est d’elle que nous allons parler ce matin.

Qui est Suzi Barbosa ?

Ce matin, celle qui avait failli jeter le doute dans la tête, doit être honorée par non seulement son charisme, sa loyauté car, elle le mérite pour les efforts incommensurables déployés auprès du président Embalo pour la relève de ce qui a tenté de s’incruster dans la mémoire comme impossible, le repositionnement de ce jeune pays d’à peine moins de 2 millions d’habitants.

Aux premières heures chaudes de l’annonce des résultats en décembre 2019, quand le camp du PAIGC avait senti le danger venir, ce qui est normal, tous les cadres de ce parti, ont tenté de protester. Mais quand Simoes Domingos a tenté de pousser le pion loin, madame Suzi Barbosa, grande militante de ce parti, membre du bureau politique, ministre sous l’égide du même parti, a fait le pari de reconnaître la vérité qui l’a affranchie.

Aujourd’hui, ce sont des surnoms de courage que la presse lui attribue, étoile de la Guinée-Bissau, Suzi, le ministre qui incarne l’art et de la culture du bien-être et j’en passe. Fille de parents entrepreneurs (Maimuna et de Carlos Capé), Suzi Barbosa cultive depuis son plus âge l’art et l’esprit du bien-être.

Les exemples d’organisation et de contrôle ne manquaient pas à cette diplomate affinée, dont la formation aux relations internationales a été à la base de tous les succès, surtout à l’organisation de la fête du 47ème anniversaire où, avec une équipe ils ont réussi en rassemblant 4 chefs d’état africain sur le même stand, sans compter le nombre impressionnant d’invités de marque. C’est du jamais réalisé et vu en Guinée-Bissau.

La fille de maman Maimuna, la plus belle femme de son temps et de son époque et de papa Carlos Capé, se sent à l’aise et en confiance, en travaillant aux côtés de son frère le président Umaro Embalo et lui démontre sa capacité de la haute diplomatie et son amour à témoigner à ses compatriotes. Ainsi, la Guinée-Bissau rentre dans le temps pour récupérer sa place dans le concert des nations et pour ça, le président Embalo seul ne pouvait pas sans la contribution sincère de ceux qui ont cet art, comme notre Suzi, qui a pris le caractère de son père, ce grand militant, les premiers pionniers qui se sont battus pour arracher l’indépendance des mains des portugais.

Aujourd’hui, elle est ministre des affaires étrangères, de la coopération internationale. C’est un mérite. Qu’est-ce peut arrêter cette hargne de lutter partout où le besoin doit se faire sentir, les empêcher dans cette complicité politique et diplomatique, le président Embalo et sa ministre devenue presque, une complice, continuent d’arpenter le sommet pour laisser à la postérité, une image de patriotes baroudeurs.

Nous gardons en elle, ce beau sourire qui ne la quitte jamais, malgré l’usure du temps, comme celui de sa mère, la belle à a voix dormante et se détermine à mouiller son maillot pour redorer le blason de son pays. C’est celui qui ne fait rien qui ne se trompe pas, allez les enfants de la Guinée-Bissau, nouvelle version, si vous ne le faites pas, personne d’autre ne le fera à votre place et c’est l’histoire qui vous le restituera. L’histoire est belle, quand on y entre avec des traces qui marquent la sueur et parfois le sang, le reste ne sont que des faire-valoir.

                                                                   Joël ETTIEN

                 Directeur de publication : businessactuality.com

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