Côte d’Ivoire: Les couloirs et coulisses du palais présidentiel sont bondés de morts et la vie devient triste.
Dans les coulisses du palais présidentiel, tristesse, douleur, incompréhension et petites joies ont commencé à pétrir des angoisses, craintes, peurs pour enfin donner des petites joies, d’un espoir incertain et pour un recommencement qui va encore durer 5 ans. Les ivoiriens se parlent par clan et les barrières ne tombent pas, pourtant ils oublient qu’ils sont propriétaires de leur vie et responsables de leur bonheur et de leur malheur. Dans les couloirs du palais, des morts parlent aux vivants et les vivants les fuient, parce qu’ils sont devenus des revenants.
L’atmosphère au palais présidentiel devient des plus triste
La vie a-t-elle un sens dans le cœur des politiques qui ont sali les coulisses du palais présidentiel ? Le bonheur existe-t-il dans leur mesure d’accompagnement de souffrance, qui rend craintifs, le passage dans les couloirs du palais ? Les esprits se bousculent dans des cerveaux creux et avides de l’essence humaine à cause de l’acquisition des biens matériels qui s’obtiennent par le sang pour finir toujours en cadavres qui jonchent les vues. Ils ne voient pas, parce qu’ils sont assis dans des voitures à vitres teintées à 98%. Ils fuient la population qui les ont installés. Les politiques ivoiriens n’aiment la Côte d’ivoire et répugnent les ivoiriens. On ne maltraite pas ce qu’on aime. On ne tue ceux pour qui on est au pouvoir.
Ils vont encore faire tuer pour leur pouvoir. L’autrefois, c’étaient plus de 3000, mais c’est faux, il y en avait que ça qui ne dorment dans les fausses communes, puits et ceux qu’ils ont fait brûler. Combien seront-ils cette année encore ?
L’Homme est où en Côte d’Ivoire ? S’il doit servir dans les boucheries avec autant de larmes, à quoi ça sert cette course, puisqu’on part, tout laisser entre des mains innocentes qui n‘ont pas souvent, la notice et qui laissent tous ces héritages cramés dans les casseroles.
MM. Ouattara, Bédié, Mabri et tous ces apprentis sorciers qui vont se précipiter sur la vie des ivoiriens pour les assombrir et les attrister, où est l’ivoirien dans votre menu ? Quand un coud un habit, c’est pour le porter, ou bien en Côte d’Ivoire, c’est au cimetière il y a la vie ?
Quand on obtient un trophée, c’est à qui revient l’honneur ? Les coulisses du palais sont remplies de tristesse qui ne disent rien à ses occupants, parce qu’ils ne croient en rien. Les couloirs du palais, les murmures hantent et l’odeur est puante.
Si, la notion de chasseur existe et a existé, la logique serait que les viandes des animaux et non celle des Hommes qui sont remplies dans les frigos du palais et les esprits son congelés qui ne produisent plus d’espoir.
Ils ne tirent pas/plus les grandes conclusions et ils avancent avec des nouvelles fabriques meurtrières, le mensonge. En Côte d’Ivoire, on ment trop pour se sentir à l’aise, mais pas pour trouver le chemin de la vie.
Les ivoiriens oublient que Dieu qu’ils vénèrent, loin des édifices religieux, c’est leur propre frère, leur propre sœur et qu’en lui mentant pour lui donner la mort, ils se transforment en satan, en démons et que la route du paradis est parsemée des morts inertes, les oblige de contourner et vont tous droit à l’enfer.
Ils arrivent. Le ventre plein de haine et la bouche ment pour pétrifier l’air polluant. Pourquoi la vérité coûte si chère dans ce pays ? On construit le pays en abîmant les cerveaux et tout le monde ment. Mais ce que je sais, c’est que dans les coulisses et les couloirs du palais présidentiel, tout ce qui se décide contre les ivoiriens.
Le jour où l’amour naitra avec ses raisons humaines et saines, on n’entendra pas le retour de la voisine pour inhaler l’odeur de l’huile à l’oignon, parce que ce sont les voisins qui sont heureux.
S’il y a des prières à dire, il faut commencer par faire la propriété dans les cœurs car tout ce qui cache la peur, tue.
Joël ETTIEN
Directeur de publication : businessactuality.com
