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Guinée-Bissau: 47 ans après son indépendance, le pays est toujours enclavé et pourtant…

Guinée-Bissau, 47 ans d’indépendance, aucune avancée notable pour la sortir de l’enclavement et c’est toujours, dans la chienlit suscitée par des coups d’état, qui donnent l’impression que c’est un passage obligé. Ce qui semble révolu chez les autres, demeure toujours d’actualité dans ce pays si aimable pourtant par une population qui ne demande que de l’amour de ses dirigeants.

Des années après son indépendance, la Guinée-Bissau peine à avancer…

Pendant la campagne présidentielle de 2019, le candidat Domingos Pereira avait juré la main sur le cœur reconnaître les résultats des urnes pour montrer à la face du monde, qu’il est un vrai démocrate. Comme, les résultats n’ont pas été en sa faveur, il s’est mis dans une cécité politique pour scier la branche sur laquelle, il s’est posé. C’est lui, encore lui, qui se montre en spectacle et saute de branche en branche pour demander, tantôt le recomptage des voix ou l’annulation pure et simple des élections. Dis donc, il oublie si vite à ce point!

Le pays a des voisins qui évoluent et chez qui, certains de ses ressortissants vont se réfugier quand, les acteurs mafieux troublent leur sommeil par le retentissement des armes dressées contre leurs propres frères, tout ça, pour semer le désordre afin de s’accaparer des richesses du pays, à leurs seuls profits.

Voilà, depuis 47 ans d’indépendance, il n’y a aucune route et pendant la saison des pluies, des villes et villages sont coupés du reste du monde et il en est fier. Voilà que sous peu, après la saison des pluies, des riverains seront perturbés par les bruits assourdissants de ces gros engins, pour des bitumes. Le nouveau président Embalo Umaro a mangé du lion et il en a gros sur le cœur pour la relève du retard de son pays.

Il vient d’obtenir de certains bailleurs de fonds, les moyens pour bitumer plus de 300 km de route. Sans compter les efforts entamés pour solder petit à petit les arriérés de salaires que le parti politique de Domingos Pereira a causé à ses propres compatriotes, leur privant de la vie.

L’espoir Embalo

L’hôpital central de Bissau, est entrain d’avoir des équipements et bientôt des médecins partiront de Paris, pour apporter leurs expertises en la matière, à ce pays. Qui demande mieux ? C’est le virus qui a retardé tous ces grands projets, mais ce n’est qu’un problème de temps.

Depuis l’arrivée au pouvoir du président Embalo Umaro, l’espoir renaît et certains de ses compatriotes commencent à rentrer au bercail pour se mettre au servie de leur pays. C’est le virus qui a contraint la fermeture des frontières, sinon, Bissau, la capitale, serait grouillée de monde. Mais ce n’est qu’un temps.

Les enseignants ont retrouvé la joie et les écoles vont rouvrir pour dispenser le savoir à ces guinéens qui ont failli douter de leur existence.

En Guinée-Bissau, on dénombre plus de 80 îles, toutes belles, les unes comme les autres. Parmi ces îles, il y en a qui ne sont habitées que par des animaux, les reptiles en général. Ce qui devrait préoccuper les pouvoirs successifs à promouvoir, elles ont été à l’abandon et c’est un des projets sur lequel, le président Embalo Umaro n’a de cesse de s’en soucier pour les mettre en valeur. Quand on sait que ces îles sont prisées par des richissimes hommes d’affaire, qui en raffolent. Après le passage du Coronavirus, une grande promotion sera faite pour ouvrir le pays sur la voie des envies.

47 ans après son indépendance, la Guinée-Bissau emprunte le chemin du progrès

Quand on dit que la route précède le développement, c’est maintenant que les guinéens, vont goûter aux délices de leurs richesses. Pourtant, le pays n’est pas pauvre comme les pouvoirs précédents ont fait croire. Comme la Guinée Equatoriale, du temps de M. Macias Nguéma, personne ne les prenait au sérieux. Il aurait fallu que le président Obiang Nguéma parvienne au pouvoir pour découvrir, un des plus importants gisements du pétrole pour la hisser dans le concert des nations.

La Guinée-Bissau est assise ou posée selon, sur des richesses énormes, mais la volonté manifeste de son président Embalo, des découvertes extraordinaires surgiront et la peur, le complexe d’infériorité qui s’emparent de ses compatriotes, seront des vieux souvenirs.

Il fera bon vivre dans ce pays que les autres seront obligés d’y jeter des regards.

Après plus de 47 ans d’indépendance, c’est maintenant que les guinées vont connaitre la vraie indépendance et nous leur souhaitons, bonne chance !

                                      Joël ETTIEN

  Directeur de publication : businessactuality.com

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