La Guinée-Bissau se positionneA LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Bissau: Un positionnement diplomatique remarquable.

Le positionnement diplomatique de la Guinée-Bissau actuellement est un crédit pour son image et pour son respect. En effet, depuis que le président Umaro Embalo a confié la gestion de la diplomatie à la chevronnée, l’intrépide, la patriote Suzi Carla Barbosa, la Guinée-Bissau se porte comme un prince et tout le monde lui court après pour s’abriter à son émergence.

La Guinée-Bissau se hisse vers le haut

Madame Suzi Carla Barbosa est la ministre d’état, ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale de la Guinée-Bissau. Élégant physique qui allie la beauté intellectuelle, elle a fait flipper beaucoup de ses compatriotes qui l’avaient suspectée de taupe parce que revenant d’un parti autre que celui qui a conduit Embalo au pouvoir. Très tôt, elle boucle ces médisances et ces ragots par son ardeur au travail.

Aujourd’hui, le fruit de ce tandem devenu le socle d’une complicité, opère des résultats qu’aucun président de ce pays n’a produit. Voilà un pays taxé de tous les mauvais noms d’oiseau: carrefour de la drogue, haut lieu du trafic au point où les américains, l’avaient épinglée de vouloir y venir arrêter un de ses officiers militaires. Ce pays quasi infréquentable, la Guinée-Bissau est redevenue la convoitise et la coqueluche du monde entier. Les investisseurs s’y bousculent. Les institutions bancaires mondiales qui avaient perdu la confiance, sont revenues pour accompagner le président Embalo Umaro après la gabegie de l’ancienne équipe des perdants conduite par les Simoès Pereira.

Madame Suzi Carla Barbosa, ne dort quasiment plus et se sert de sa beauté multiforme pour attirer les regards et c’est tant mieux.

Désormais, on assiste à un ballet vertigineux de diplomates pour la présentation de leurs lettres de créance. Les plus en vue, outre les missions internationales sont: la république du Cap-Vert, le royaume du Maroc, la république du Venezuela, la Turquie, le Qatar, l’Arabie Saoudite.

De cette offensive diplomatique, toutes les organisations sous régionales et internationales ont repris du poil de la bête et la capitale respire la pleine et confiante forme. Ainsi, le président Embalo et sa dynamique ministre ont remis le couvert.

L’ère Embalo, profitable et énergétique pour la Guinée-Bissau

Il est temps de rappeler par une comparaison digne de bonne foi, au regard de ce qui se passe sur la verdure de ce pays, quel président bissau-guinéen a pu réaliser un tel record pour la confiance ?

Il est très facile de critiquer quand on est en proie à de la jalousie, mais quand les résultats sont palpables comme c’est le cas depuis quelques mois à Bissau, il faut que les opposants apprennent leurs leçons politiques et se fassent gagner d’une reconnaissance pour le travail qui se fait sous leurs yeux. Comme dit l’adage: quand ton ennemi travaille bien, tu ne peux pas l’aimer, mais reconnaître tout au moins à partir des résultats visibles, n’est pas signe d’alliance ou d’un aveu d’échec. Ça bouge à Bissau. 

En dépit des contraintes liées à la pandémie, l’équipe gouvernementale fait un travail de lobbying à saluer. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, le président Umaro Embalo se sent rassuré de se voir adouber par des vrais patriotes comme sa ministre des affaires étrangères qui a confondu toutes les mauvaises langues pour se mettre au centre du jeu diplomatique et les fruits sont là.  

En voilà des touristes qui commencent à s’intéresser aux îles longtemps restées inexploitées et qui attirent des gourmandises et de la convoitise.

Les populations n’arrivent plus à fermer les yeux, tellement que les bruits des gros engins fendent les routes tortueuses pour les asphalter. Certaines voies sont en train d’être bitumées et comme dit l’adage, la route précède le développement. Que dire des salaires des fonctionnaires qui se faisaient payer en dents de scie, tout est devenu des vieux souvenirs. Au niveau de la santé, des grands centres de santé sont en train de sortir de terre et bientôt, beaucoup d’africains s’y rendront pour des soins de qualité à l’image des grands pays.

L’école a repris et tout le monde est au travail en Guinée-Bissau et les jeunes sans emplois qui s’adonnaient à la consommation des stupéfiants, n’ont plus le temps car préoccuper à se mettre au travail pour nourrir leurs familles avec de l’argent propre.

Le temps avance et comme on le dit en Côte d’Ivoire, le temps est l’autre nom de Dieu et nous sommes témoins d’un réveil et d’un éveil de conscience à Bissau.

Le retour sur la scène diplomatique répare et renforce le crédit et le respect de ce pays. Félicitations à cette équipe gouvernementale qui met son pays au centre de ses préoccupations majeures. C’est rare.
                                     

Joël ETTIEN
    Directeur de publication: businessactuality.com

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