Fonctions ministres-gouverneurs en Côte d'IvoireCÔTE D'IVOIRE 

LETTRE OUVERTE AUX PARTIS POLITIQUES DE CÔTE D’IVOIRE

France, le 24 janvier 2024

Objet : Situation politique de la Côte d’Ivoire.

Je voudrais, par la présente lettre, m’adresser personnellement aux partis politiques de Côte d’Ivoire. Même si je ne milite dans aucun d’entre eux, la Côte d’Ivoire reste mon parti. J’aime la politique qui aime le peuple et qui développe le pays avec amour pour le peuple. Raison pour laquelle j’ai aimé la politique de ce grand homme –Félix Houphouët-Boigny, paix à son âme ! Car, vous ne pouvez pas développer un pays sans son peuple ; c’est ce que j’appelle un cheval sans monture ni cavalier et une voiture sans chauffeur.

Je pense qu’un devoir de retenue s’impose à tous les partis politiques, eux qui prétendent s’intéresser aux aspirations du peuple dans leurs promesses de campagne politique. Moi Jean Blezon qui le dis, je ne suis pas né de la dernière pluie. J’ai vu le jour le15 juillet 1932 à Kéglobly, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire. À l’âge de douze ans, j’ai été réquisitionné pour des travaux forcés sur la route de Kouibly-Man. Mon père, lui, l’a été bien avant moi sur la route du Mont-Tonkpi, lorsque j’avais deux ans et six mois. Puis il a été forcé à faire la guerre de 1939/1945. Je ne l’ai revu qu’en 1947 quand il est venu pour une permission de trois mois et qu’il ne m’a pas retrouvé au village. Ma mère l’ayant informé, c’est sur la route des travaux forcés qu’il est venu me chercher. J’avais déjà treize ans.

C’est dire combien j’ai connu la souffrance et les brimades que le peuple a subies à l’époque. Alors je ne peux pas permettre aux partis politiques de continuer aujourd’hui l’œuvre de la défunte colonisation. Ces partis qui n’aiment pas la Côte d’Ivoire encore moins son peuple, aiment se contenter des miettes. Ils vendent le pays à un prix forfait pour dire qu’ils sont riches. Oui, ils sont riches ! Mais ils n’aiment pas le peuple de ce pays, ils livrent le peuple entre les mains des Illuminati. Pourquoi sont-ils si méchants pour un pays qui les nourrit ? Pourquoi veulent-ils se nourrir sans en donner au peuple qui travaille ? Ainsi, les partis politiques et leurs présidents sont devenus les présidents des régions, sur lesquelles il n’y aura personne d’autre. Ce sont des gouverneurs des micros-États sur la Côte d’Ivoire.

Le PDCI-RDA, qui a été le parti central de la Côte d’Ivoire, est devenu la dynastie des Akan, surtout Baoulé. Le FPI, qui a été arraché au président Gbagbo par la France et les Illuminati et qui devrait être le parti des Agni, n’arrive pas à décoller. Et pourtant, le PPA-CI qui est sorti du lot pour tendre la main à tous les Ivoiriens et les allogènes est poursuivi par la France et les Illuminati. L’UDPCI, le parti de feu Robert Guéï qui devrait rassembler le grand ouest, est resté entre les mains du peuple Dan, sans plus. Et maintenant nous avons le RDR, ce parti qui gouverne aujourd’hui le peuple ivoirien, un clan familial qui gouverne !Ce parti est dirigé par la France qui est partie prenante de la politique ivoirienne. Comme les Illuminati et la France demandent le remplacement des Ivoiriens, il faut que ce parti s’enferme en famille pour mieux réussir sa mission. Ainsi, pour ne pas que l’ancien président de la République revienne au pouvoir, la France et ses loges franc-maçonniques, rose-croix et Illuminati ont rayé le nom du président des Ivoiriens sur la liste électorale.

Ces Ivoiriennes et Ivoiriens qui ont fait de hautes études ont toujours cru que ne pas sortir des grandes écoles des Blancs, c’est être aveugle. Pourtant nos aïeux, incultes, ont résisté à la déportation de vingt-huit millions d’esclaves du XVe au XIXe siècle qui ont atterri aux Antilles et aux États-Unis d’Amérique. Cette résistance a permis au continent africain d’être envie, mais la lutte continue parce que l’Afrique est en captivité depuis sept siècles. Le plus dramatique, nous allons rentrer au huitième siècle toujours avec cet élan d’esclavagisme, au regard des partis politiques qui ne pensent qu’à l’argent et ne se soucient guère de l’avenir de leur pays.

Quand j’observe les partis politiques ivoiriens, c’est comme si je voyais les cinquante-deux États de l’Amérique. Cela nous montre clairement la division qui a cours dans la politique ivoirienne, une division mêlée à la méchanceté et aux crimes. Même pour de l’argent, des Ivoiriens sacrifient leurs mères, leurs propres filles et fils. Parce qu’ils refusent de travailler avec leur intelligence et leurs mains pour parvenir au bout de leurs peines. Ainsi, le pays est devenu un lambeau d’ethnies que la France croit avoir le droit de posséder et qu’elle possède effectivement. Aujourd’hui, cette France mange ce que la Côte d’Ivoire produit alors que celle qui produit ne mange pas sa propre production.

Je peux donc dire que les partis politiques ivoiriens sont aux ordres de la France libre, comme en 1937, au moment où les fouets battaient les postérieurs de nos aïeux. En 2011, Monsieur Nicolas Sarkozy alors président français, disait : « De quoi avez-vous peur ? Moi, j’ai enlevé Gbagbo, et aujourd’hui il est en prison pour mourir. Alors, nous pouvons faire comme bon nous semble de ce pays. »Ce que je traduis par : la Côte d’Ivoire est en captivité.

Qu’est-ce que Sarkozy voulait dire concrètement ? Que la Côte d’Ivoire est prisonnière de la France. Ou pour traduire mot à mot : « Moi, président français, la Côte d’Ivoire est mon marchepied, et je fais ce que je veux de ce pays. Je peux rendre la vie des Ivoiriens comme mes prédécesseurs, même ceux qui viendront. » Ainsi, les Illuminati demandent à ceux qui ont pris les photos avec eux de détruire leur pays, en tuant les Ivoiriennes et les Ivoiriens. Ils disent qu’ils vivent dans la sociabilité, mais ils combattent le socialisme. Alors, pour mieux vivre, les petits partis politiques se multiplient en Côte d’Ivoire.

Ainsi, jusqu’à présent, la Côte d’Ivoire est une esclave qui doit suivre le bon vouloir du gouvernement français. Qui, quand il voudra tuer les singes, descendra dans forêt pour une chasse sans merci. Ainsi, dix-huit bombes vont tomber sur la maison présidentielle des Ivoiriens. Car les animaux ont besoin d’un guide à qui ils doivent obéir et non d’un président de la République. Le gouvernement français se servira de l’ONU comme couverture pour positionner des rebelles dans les villes qu’il voudra détruire.

dozo et onuci

Voici le travail de l’ONU quand elle dit qu’elle est en mission de paix.

Avec la multitude de partis politiques en Côte d’Ivoire, lequel sera pour le peuple et sa terre ? Chaque parti cherchera à manger dans les mains des envahisseurs, pour oublier la patrie. Si au moins l’Ivoirien politique aimait son pays et ne travaillait pas pour l’envahisseur, le prix portant le nom de Son Excellence le président fondateur de la Côte d’Ivoire ne serait pas entaché du sang de son peuple qu’il a laissé. Parce que ce machin de paix n’appartient pas au peuple de notre monde noir, d’après la France. C’est seulement maintenant que le monde noir vient de le comprendre, mais il y a des siècles que l’Europe a divisé le monde, lequel a du mal en s’entendre et à se rassembler.

Nous voyons qu’en Côte d’Ivoire la politique a du mal à faire un travail patriotique, au lieu de la patrie elle passe à celle d’ethnicité. Cette politique d’oligarchie est beaucoup centrée sur le peuple. En effet, le gouvernement français pense toujours qu’en nommant un de ses négriers noirs, il peut continuer à diviser ce pays. Seulement, les Ivoiriennes et Ivoiriens doivent comprendre que les pays qui demandent leur souveraineté ont aussi des ethnies comme la Côte d’Ivoire et même plus.

L’Ivoirien doit comprendre que son remplacement a commencé depuis 2021, au moment où des têtes se coupaient. C’est impératif ! Maintenant, s’il refuse le patriotisme qui forge une nation souveraine, et s’enferme dans une fédération ethnique qui vend définitivement, alors la terre ivoirienne n’a que dix ans pour vivre. Et d’ailleurs, il a déjà été vendu, s’il n’arrête pas la division au sein de sa politique qu’il fait. Sommes-nous tous sur la même terre ivoirienne, alors nous devons tous ensemble défendre ce pays.

Vous savez, l’homme dit toujours dans une situation pareille : si nous avions pris sa parole au sérieux, nous n’en serions pas là. Vous, partis politiques, vous souhaitez être un jour les guides de votre pays, qui est d’abord un pays de paix, et qui a un prix de paix. Or aujourd’hui, dans ce pays de « paix », on coupe des têtes, on crible de balles la tête des officiers ! Vous partis politiques, vous dites que le pays est béni. Or les serviteurs de l’Éternel Dieu de la bénédiction sont pris les jours de culte pour être jetés en prison, y compris les imams ! Ceci pour dire que l’Éternel Dieu n’existe pas et que le pays de paix ne sera plus dans la paix. Ainsi, les Ivoiriens vivent dans la désunion et nos hommes spirituels sont pourchassés comme des rats de champs pour être braisés sur un feu ardent, parce que les Illuminati demandent de remplacer les Ivoiriens.

Quelque chose de très étonnant : hier, nous avons entendu sur les réseaux sociaux et les plateaux de télévisions de toutes les nations : « Je suis musulman. Je suis du Nord. C’est pourquoi les gens ne m’aiment pas. » Un délire qui a causé la mort de 1 500 000 personnes et dix-huit bombes sur la résidence présidentielle de Côte d’Ivoire. Chers partis politiques ivoiriens, vous avez bien lu toutes mes lettres adressées à des organisations de la communauté internationale, au Premier ministre Guillaume Soro, au président Alassane Ouattara, à la Présidente de l’Assemblée Nationale français. Mais vous êtes encore dans liquidation du peuple ivoirien, comme le désirent les Illuminati et la France.

Ce que la France et les Illuminati veulent que vous fassiez pour qu’ils détruisent le pays, est en marche. Comme ils savent que la Côte d’Ivoire a tissé une alliance avec le Seigneur Éternel Dieu d’Israël – par le président fondateur de ce pays, paix à son âme !–ils veulent tout faire pour anéantir l’alliance de notre Seigneur Éternel. Aussi ont-ils trouvé bon de mettre les Hommes de Dieu et ceux d’Allah en prison ou les tuer par le maraboutage et le fétichisme. Mais ce que nous devons savoir, c’est que l’Éternel Dieu a toujours le dernier mot sur la vie de ses serviteurs.

Vive la Côte d’Ivoire !

Que Dieu bénisse notre pays.

Jean BLEZON

Écrivain – Penseur

Related posts

Leave a Comment